- Questions fréquentes -

Frequently asked questions

 

A qui s’adresse le FErtility Yoga ?

Enseigné depuis 30 ans aux Etats-Unis, le Fertility Yoga s’adresse à toutes les femmes soucieuses de préserver / améliorer leur équilibre hormonal. Comme indiqué dans les études téléchargeables sous l’onglet Fertility , il est recommandé aux femmes ayant recours aux stimulations, inséminations et FIV de pratiquer le Fertility Yoga de façon bi-hebdomadaire 3 mois en amont du traitement hormonal.

le FErtility Yoga est-il efficace exclusivement sur les femmes sous traitement hormonal ?

Absolument pas ! De nombreuses élèves sans désir de maternité pratiquent le Fertility Yoga 2 (J15 à J28) pour se connecter à elles-mêmes, alléger les PMS et douleurs/crampes menstruelles.

Les femmes en désir de maternité non diagnostiquées d’infertilité ou aux infertilités idiopathiques (infertilité inexpliquée et sans pathologie) voient également leur chance de grossesse augmenter significativement en pratiquant le Fertility Yoga. Une étude de 2012, publiée dans la revue scientifique American Society of Reproductive Medicine (Vol.14 Num.18), menée sur des femmes non atteintes d’infertilité, établit que les chances de grossesse augmentent avec une pratique physique douce mais diminuent avec les pratiques sportives intenses (cardio, jogging, HIIT, indoor spinning/cycling etc.).
 

le fertility Yoga est-il recommandé en cas d’endometriose ?

Tout à fait ! A la différence du Yoga des Hormones qui est strictement interdit aux femmes atteintes d’endométriose à cause de la production d’oestrogènes qu’il suscite, le Fertility Yoga est totalement adapté aux spécificités de l’endométriose (adhérence, douleurs, tiraillements).

Recommandation : Commencez d’abord par le Fertility Yoga 2 (doux) pour vous familiariser avec la pratique.
 

En quoi le fertility yoga est-il différent des autres formes de yoga ?

Basé sur des asanas (positions) de Yoga Hatha, le Fertility Yoga est la seule pratique féminine qui dissocie les séquences (Fertility Yoga 1 vs. Fertility Yoga 2) en fonction des hormones présentes dans votre corps, en visant spécifiquement l’apaisement des glandes surrénales, l’activation du système nerveux parasympathique.

Les médiations sont ciblées pour favoriser le mental calme et activer le travail hypothalamo-hypophysaire.

En première partie de cycle, de J5 à J14, la séquence de FY1 est conçue pour s’adapter à la présence d’oestrogènes. Plus dynamique que la séquence de FY2, le cours de FY1 n’inclut néanmoins aucune torsion ou inversion.
 

En cas de cycles irréguliers ou aménorrhée, quel cours de fertility Yoga choisir ?

Sauf contre-indication médicale particulière (kyste, fibrome, adhérence), privilégiez le cours dynamique de Fertility Yoga 1.
 

Comment se déroule un cours de fertility yoga ?

Tous les cours commencent par des exercices de respiration abdominale basse et de visualisation pour apaiser le mental et les glandes surrénales.

Toutes les glandes de notre corps travaillent en synergie. Il est impossible d’avoir un cycle hormonal féminin équilibré si les surrénales sont en sur-activité et produisent notamment des hormones de stress antagonistes pour l’ovulation.

La séquence d’asanas de FY1 et FY2 est dissociée et d’intensité décroissante à mesure qu’on avance dans le cycle. En effet, pour toutes celles en démarche de maternité, il est est important d’éviter les torsions et compression en période de nidation.

De même, pour apaiser les effets de crampes liés à la prostaglandine, toutes les compressions abdominales sont à proscrire dans les jours qui précèdent les règles.
 

Puis-je continuer mes activités sportives intenses en même temps que le fertility yoga ?

De nombreuses études scientifiques (notamment American Society of Reproductive Medecine, 2012 Vol. 14, Num. 18; Obstetrics & Gynecology Journal, 2006 108, pp. 938-946) menées sur des milliers de femmes durant plus d’une décennie ont établi que les activités sportives de haute intensité (HIIT, Bootcamp, vigorous AbCore, Cycling etc.) réduisent d’ 1 tiers les chances de grossesse, et ce que vous rencontriez ou non des problématiques de fertilité. Connue sous l’acronyme “HPA” (hypothalamus pituitary adrenal) dysfunction en anglais, la relation hypothalamo-hipophysaire se trouve déréglée par la surréaction des glandes surrénales à votre activité sportive.